A Monsieur Joachim Rücker, président du Haut-Commissariat des Nations unies aux Droits de l'Homme. Genève -Suisse-

Le bouc-émissaire de Kameledine Dr Fekhar  n'est pas criminel.
C'est un militant de l'identité "amazyghe" (berbère et kabyle), une dimension qui fait une indéniable particularité de la personnalité Mozabite en Algérie.

Il n'a pas tué.

Les identités civiles des victimes lors des événements de violence révèlent de quel côté elles sont réellement, donc il ne peut être accusé de la mort des personnes engagées avec lui pour la même cause.   
Il ne peut accusé d'avoir causé la mort des 22 ou 18 citoyens assassinés lors des faits de juillet 2015, il aurait fait partie d'ailleurs...

Les personnes qui sont à l'origine de ces morts, constatées en milieu hospitalier, doivent être arrêtées. Faire des reconstitutions, au nom de la république et de la légalité internationale, est nécessaire.

Nous exigeons de la justice algérienne de démontrer son impartialité et son indépendance du pouvoir et des contingences idéologiques...

Et nous demandons au Haut-Commissariat des Nations unies aux Droits de l'Homme, de se manifester devant les autorités algériennes et d'agir au niveau diplomatique, pour cette injustice.