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S'abonnerApprêtés comme pour une noce, les 89 députés du Rassemblement national ont fait leur entrée ce mercredi à l’Assemblée nationale. Le mouvement de Marine Le Pen affiche, sur la forme et le fond, l’ambition de s’imposer comme une opposition « respectable et donc respectée ».
Le RN qui monte, qui monte, qui monte d’élection en élection et, aujourd’hui, fort de 89 députés à l’Assemblée nationale, voilà qui ne vous étonne plus. Marine Le Pen a réussi la « dédiabolisation » de son parti et le front républicain a fait long feu. Vous attendez maintenant de savoir quelles positions et attitudes vont adopter ces élus RN au sein de l’Hémicycle.
Sébastien Delogu, chômeur, Caroline Fiat, aide-soignante, Rachel Kéké, femme de chambre de l'Ibis Batignolles, Stéphanie Galzy, intérimaire à la Poste... Bien qu’ils représentent une part infime des députés, « ces invisibles » font leur entrée à l’Assemblée nationale.
Emmanuel Macron s’est exprimé pour la première fois depuis le résultat des élections législatives.
Sept circonscriptions de plus sont désormais acquises au RN dans le Nord et le Pas-de-Calais. Les élus locaux vont devoir apprendre, ou pas, à travailler avec les députés frontistes. Dans les cinq circonscriptions frontistes depuis 2017, les relations sont souvent plus que fraîches...
Nos confrères de la presse étrangère analysent « la défaite inattendue » aux élections législatives d’Emmanuel Macron qui devra « sortir de l’isolement ».
Depuis dimanche soir, Marguerite Deprez n’est plus la députée de la 9e circonscription du Pas-de-Calais. La candidate Ensemble ! revient sur sa défaite au second tour des législatives face à Caroline Parmentier, la candidate du Rassemblement national.
Des responsables politiques ont regretté que dans certaines circonscriptions les consignes de vote pour faire barrage au RN n’aient pas été claires, favorisant l’élection de nouveaux députés frontistes. Explications avec Erwan Lestrohan, directeur conseil à l’institut de sondages Odoxa.
L’élection de la nouvelle Assemblée nationale, dimanche, est marquée par l’arrivée de profils inhabituels sous les ors du Palais-Bourbon, plus populaires, même si cadres et professions libérales restent les plus représentés.
Elles sont 215 femmes à avoir été élues députées dimanche sur les 577 que compte l’Hémicycle. On est donc loin de l’égalité hommes-femmes dans la représentation à l’Assemblée. Combien les différents partis vont-ils payer ? On fait le point.
Alors que le parti présidentiel est loin de la majorité absolue, on vous explique comment, et à partir de quand, Emmanuel Macron peut dissoudre l’Assemblée nationale.
L’objectif de ces rencontres est de « dialoguer et échanger pour l’intérêt supérieur de la Nation et bâtir des solutions au service des Français » dès lors « qu’il n’y a pas de majorité alternative », a précisé l’entourage du chef de l’Etat.
Aucun député en 2012, douze aujourd’hui. En dix ans, le parti de Marine Le Pen a parachevé son implantation progressive dans la région, y compris loin de ses bases du bassin minier. Mais la véritable nouveauté, c’est qu’il parvient dorénavant à transformer sa force électorale en puissance politique.
Au lendemain du 2e tour des élections législatives, certains députés élus dans le sillage d’Emmanuel Macron et battus cinq ans plus tard ont du mal à digérer la défaite.
Pour la première fois, la 9e circonscription du Pas-de-Calais sera représentée à l’Assemblée nationale par une députée d’extrême droite. Retour en chiffres sur ce second tour qui a vu Caroline Parmentier (RN) l’emporter sur Marguerite Deprez (Ensemble !), la députée sortante.
Battu de 213 voix par Matthieu Marchio (RN) dimanche soir, le député sortant Alain Bruneel (PC/NUPES), n’envisage pas de contester la régularité du scrutin pour autant.
Anne-Laure Cattelot faisait figure de favorite dans son duel face à Michaël Taverne quelques heures encore avant le dépouillement. Pourtant, c’est le candidat du Rassemblement national (RN) qui l’a emporté dans la 12e circonscription du Nord. Éléments d’explications.
«On entre dans une période inédite et inconnue»: en perdant sa majorité absolue, Emmanuel Macron paie ses erreurs stratégiques de campagne et voit son second quinquennat dérailler dès le premier tournant.
Poussée de l’extrême droite, majorité relative d’Ensemble !… Les résultats du second tour des législatives imposent une nouvelle partition à l’Assemblée, avec déjà des fausses notes à gauche. Emmanuel Macron va devoir en tirer les leçons pour inventer une nouvelle gouvernance. Quitte à se séparer de son chef d’orchestre Élisabeth Borne ? Rien n’est moins sûr.
Le leader de La France insoumise, bientôt 72 ans, ne veut plus paraître en première ligne. Au lendemain de législatives réussies pour la NUPES, il laisse le renouveau de la gauche et une définition de l’insoumission en héritage.
Jean-Luc Mélenchon a proposé lundi que la Nouvelle union populaire écologique et sociale se constitue « comme un seul groupe » à l’Assemblée nationale, inquiet que l’obtention de 89 députés par le RN remette en cause son « statut » de première opposition à Emmanuel Macron.
La défaite sur le fil de Brigitte Bourguignon aux législatives laisse le ministère de la Santé sans pilote, alors que le sujet fait partie des « urgences » du gouvernement, à la veille d’un été « difficile » dans les hôpitaux.
La ministre de la Santé Brigitte Bourguignon a perdu ce dimanche l’élection législative dans la 6e circonscription du Pas-de-Calais, face au RN. La Boulonnaise renonce de fait à ses fonctions ministérielles. Elle a officialisé sa démission du gouvernement ce lundi, par communiqué.
Une Assemblée nationale un peu moins féminine et avec un renouvellement plus faible qu’il y a cinq ans, mais avec un âge moyen restant sous les 50 ans : voici quelques chiffres sur le visage du nouvel hémicycle.
Avec 89 députés, le RN a de nouvelle prérogatives à l’Assemblée. Mais ça change quoi en fait ? Beaucoup de choses. On fait le point.
Elle s’est dit « surprise » par le nombre de députés RN – 89, un record – élus dimanche soir au second tour des législatives, alors qu’elle en espérait environ 60.
Ce second tour des élections législatives est une défaite pour Emmanuel Macron qui va devoir trouver des alliés à l’Assemblée. Et changer sa façon de gouverner.
La coalition présidentielle d’Emmanuel Macron arrive en tête du second tour des législatives 2022 ce dimanche mais n’a pas obtenu la majorité absolue, bousculée par la Nupes et la percée historique du Rassemblement national.
Avec 46,7 %, la députée sortante et candidate de la majorité présidentielle, Marguerite Deprez, n’a pas été réélue au deuxième tour des législatives dans la 9e circonscription du Pas-de-Calais, passée aux mains de l’extrême droite.
Pour la première fois à des législatives, le parti de Marine Le Pen s’impose comme la première force politique de la région et envoie 12 députés du Nord-Pas-de-Calais sur 33 dans la future assemblée. Un résultat qui marque aussi la défaite du camp macroniste.
Sans susciter de sursaut de participation, le second tour des élections législatives a provoqué néanmoins un séisme à l’Assemblée nationale. Les percées de la NUPES et surtout du RN engagent la France dans l’inconnu, avec une alliance présidentielle qui sera incapable de gouverner seule. La présidence « jupitérienne » a vécu.
2012 marque dans le Nord et le Pas-de-Calais le dernier scrutin des législatives où les abstentionnistes étaient moins nombreux que les votants. Une époque qui semble révolue. Le second tour de ces élections législatives 2022 le confirme.
La gauche qu’il a unie est en passe d’emporter plus de 150 sièges dimanche au 2e tour des élections législatives, battant plusieurs figures de la macronie et empêchant le président d’obtenir une majorité absolue.
Les Arrageois ont encore boudé les urnes avec 56 % d’abstention au deuxième tour dans la deuxième circonscription du Pas-de-Calais. Sans surprise, le duo Maquet/Desfachelle l’emporte avec 58,63%.
Le camp Macron arrive, certes, en tête mais très loin de la majorité absolue et nombre de ses cadres — Richard Ferrand, Christophe Castaner — sont battus. La gauche réalise une forte percée et le Rassemblement national un score historique. Dans ces conditions, le parti d’Emmanuel Macron arrivera-t-il à faire avancer ses réformes ?
Le scénario d’une majorité relative à l’Assemblée nationale n’a connu qu’un seul précédent sous la Ve République : après la réélection de François Mitterrand en 1988, les socialistes ont dû pendant cinq ans gouverner sans majorité absolue de députés.
Les quinze ministres candidats aux législatives avaient atteint le second tour. Mais tous n’ont pas remporté le scrutin du second tour dans leur circonscription. On fait le point.
Plusieurs anciens ministres et membres du gouvernement étaient candidats au second tour des élections législatives. Tous n’ont pas été réélus. On fait le point.
La députée de la majorité présidentielle a terminé en tête à Avesnes-sur-Helpe.
À Avesnes-sur-Helpe, c’est le candidat de gauche, Benjamin Saint-Huile qui termine en tête face à la candidate du Rassemblement national.
Les électeurs d’Hautmont ont placé le candidat du Rassemblement national en tête, face à la députée de la majorité présidentielle Anne-Laure Cattelot.
Une victoire au goût de défaite: le camp Macron arrive certes en tête au second tour des élections législatives mais très loin de la majorité absolue face à la forte percée de la gauche unie et aussi du Rassemblement national, selon les estimations.
Les électeurs étaient de nouveau appelés à voter ce dimanche 19 juin pour choisir entre les candidats qualifiés dans leur circonscription et donner, ou non, une majorité au président de la République à l’Assemblée nationale. Tous les résultats sont sur notre site à partir de 20h.
C’est presque devenu une tradition sur les réseaux sociaux : repérer et partager les « perles » des bulletins de vote apparus au dépouillement.
Il était ado dans les années 30. Il a voté dès qu’il a pu, en 1944, et il a participé, depuis lors, à tous les scrutins ou presque. Dimanche matin, au bureau 801 du côté de la Citadelle, Jean, 102 ans, a donné par sa seule présence, une leçon de civisme.
Avant le second tour, les électeurs lillois de la première circonscription n’ont pas reçu la profession de foi de Vanessa Duhamel pour un problème logistique. Certains ont pensé qu’elle avait jeté l’éponge face à Adrien Quatennens mais sont quand même allés voter. Difficile de dire si d’autres ont renoncé.
Ce dimanche, les électeurs du Douaisis sont appelés à désigner leur député qui siégera ces cinq prochaines années à l’Assemblée. Quid de la participation en ce milieu de journée ? Tour d’horizon des principales communes des sixième, seizième et dix-septième circonscriptions.
En début d’après-midi, côté participation dans le Valenciennois, le contexte restait globalement à la baisse. Mais Saint-Amand retrouvait l’égalité parfaite avec le score de dimanche dernier à la même heure. Et Douchy-les-Mines votait même (un tout petit peu) plus.
La Constitution de 1958 rappelle que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum ». Encore faut-il qu’une majorité des citoyens ne se défilent pas comme ils l’ont fait la semaine dernière...
Les Français sont appelés aux urnes ce dimanche pour élire leurs députés pour les cinq prochaines années. Qui élit-on, où et pourquoi : on fait le point.
L’issue de ce second tour des élections législatives fixera la marge de manoeuvre, notamment en termes de réformes, du président Emmanuel Macron pour les cinq prochaines années.
Ce dimanche, près de 3 millions d’électeurs du Nord et du Pas-de-Calais sont appelés aux urnes pour désigner les 33 députés qui les représenteront à l’Assemblée nationale pour les cinq ans à venir. Avec déjà une certitude : les lignes vont bouger.